Libanais, Ivoiriens, et les autres...
On ne parle plus d'eux, mais…
En Côte d'Ivoire, 10 des 17 sites d'Abidjan où ont été déversés les déchets toxiques ont été dépollués, même si certaines odeurs s'entêtent et que le danger persiste. Au total, huit personnes ont été tuées, 69 autres hospitalisées et 90 000 personnes ont consulté un médecin pour des symptômes liés à des intoxications. Que deviennent-ils ?
Au Liban, deux millions de personnes soit la moitié de la population du pays, encourent potentiellement des risques pour leur santé en raison de traces de produits toxiques après les bombardements israéliens durant la guerre de juillet-août, d'après Greenpeace. Entre les poussières des ruines (amiante ?), les produits chimiques dont des composants chlorés et la marée noire qui ne devrait plus s'étendre si tout va bien, il y a de quoi ne pas se sentir en sécurité sanitaire ! Et que devient la population ?